En France certaines maisons d'édition ont des liens avec des entreprises financière et seront donc à un moment ou à un autre touchées par la crise actuelle. Dans l'ensemble ce secteur a joué le jeu de la rentabilité immédiate qui est aujourd'hui sur la sellette. Deux stratégies s'offrent au secteur :
- Jouer à fond la carte du best seller
- Jouer la carte du long seller. Et c'est cette stratégie qui nous intéresserait le plus, nous autres amateurs de littérature de l'imaginaire. En effet les ouvrages de SF et de fantasy ont une durée de vie relativement longue et peuvent être des sortes de rentes de sécurité pour les éditeurs lassés de prendre des risques inutiles. Mais il est vrai que les circuits de distribution actuelle ne permettent pas de privilégier cette hypothèse.
vendredi 10 octobre 2008
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