dimanche 14 novembre 2021

Le mois de l'imaginaire : perspectives et évolution

 Aujourd'hui le mois de l'imaginaire permet l'émergence de manifestation qui font parler des littératures de l'imaginaire. Librairies, bibliothèques, centres culturels, organismes d'éducation populaire peuvent s'associer au mouvement et lancer leur manifestation de promotion de l'imaginaire pour faire parler de nos genres préférés. Mais ne pourraient - on pas aller encore plus loin ?

Associer d'autres acteurs me paraîtrait opportun pour une nouvelle étape :

- La presse

- L'éducation nationale.

Pour la presse on va se heurter à un problème de calendrier. Octobre c'est encore la rentrée littéraire. C'est le mois des prix. Les pages littéraires des quotidiens nationaux et de la PQR sont saturés par les sélections du Goncourt et du Renaudot et des autres grands prix littéraire. Et donc ça risque d'être difficile.

Pour l'éducation nationale, beaucoup de professeurs documentalistes ( notamment chez les jeunes professionnels) sont à même de relayer la manifestation. Ce serait certes plus facile à mettre en place dans l'enseignement professionnel que dans l'enseignement général et technologique (mais ça pourrait être fait dans les classes de seconde sans trop de problème). En collège aux niveau quatrième et troisième on doit pouvoir intervenir ( et là on va peut être pouvoir diversifier les lectures recommandées dans un deuxième temps)

Le problème de la date de la manifestation reste donc entier. Octobre pouvant être problématique pour le développement de cette opération l'on peut se rabattre sur janvier, février, mars ou juin qui semble des mois où il est encore possible de mettre en place une opération de ce type.

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