Je regarde dans le journal ce matin la liste des 10 livres de l'été. Et bien entendu aucun titre SFFF.
Là encore cela interroge le marketing de nos genres. Eh, oui depuis des années on nous vend la SF et parfois la fantasy comme des littérature de réflexion sur le monde voire comme une littérature de combat. Et quand on parle de livres plus léger certains poussent des cris d'orfraie : la SF c'est pour faire réfléchir par pour se détendre.
Mais un livre de détente n'est pas forcément idiot. Nous devons positionner des titres sur le créneau des livres de l'été. Ne pas le faire c'est se couper d'une partie du public. Et surtout se priver d'avoir des titres qui marchent et qui soient un peu différents de ceux qui fonctionnent actuellement.
Encore une fois en se voulant disruptifs nous n'arrivons pas à toucher un large public. Mais ce n'est pas de disruption qu'a besoin le public populaire mais de romans qui le fasse rêver. Le public a le droit aussi à son content d'aventures, d'exotisme, d'épique et de spectaculaire. Parce que la SF et la fantasy c'est ça aussi. Donc les titres qui ont ces éléments là, il faut les mettre en avant.
lundi 29 juin 2020
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