Del Rey est un grand éditeur de SF outre atlantique ou plutôt était. Ils ont en effet multiplié l'achat de licence juteuse et la publication de novellisation dans les années 2000. Autant l'on peu comprendre qu'une franchise comme Star Wars puisse se décliner en roman. De même pour l'univers d'un jeu vidéo comme Mass Effect. Mais voilà, sans que l'on sache qu'elle mouche les pique qu'ils nous sortent un roman.... Transformers. Et on se demande bien ce qu'un auteur de qualité comme Alex Irvine vient faire dans cette galère. Payer ses impôts sans doute.
Je veux bien que le marketing soit le nerf de la guerre. Même j'en suis intimement persuadé. Mais là, on a vraiment touché le fond. Il vaudrait peut être mieux rebondir sur les thèmes à la mode. Ceux qui sont traité par des films ou des jeux vidéos qui marchent, plutôt que nous dériver un pop corn movie. D'autant plus que le film est déjà un produit dérivé du dessin animé qui lui même est le produit dérivé de la gamme de figurine. Bref, un roman servant à vendre des action figures ? Pourquoi pas à la limite, mais Transformers, ça ne peut être que mauvais même traité par un bon auteur comme Irvine.
dimanche 2 mai 2010
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