Je me suis fais une réflexion.
Dans la plupart des librairies les littératures de genre dont les littératures de l'imaginaire sont situées au fond du magasin. Leur lecteur sont obligés de traverser l'espace destinée à la littérature blanche, de dépasser le couloir ou l'escalier menant aux livres pratiques, de traverser également l'espace consacré au régionalisme. Tout est fait pour détourner le lecteur de genre de ses genres favoris justement. C'est un peu comme si le libraire avait honte des littératures de genre (mais aussi de la BD ou de la littérature jeunesse).
Par contre imaginons que ces mêmes littératures de genre soient situées à l'entrée du magasin. Dans ce cas on pourrait imaginer un autre parcourt menant des littératures populaires aux littératures ambitieuses. Certains lecteurs de littératures ambitieuse pourraient se procurer des ouvrages populaires en vertus de l'adage qui veut que qui peut le plus puisse aussi le moins. Cette disposition finalement fait penser au parcourt du héros. Le héros en avançant dans son voyage est confronté à des épreuves de plus en plus complexes. Et ici il s'agit d'aller des littératures populaires vers de littératures plus complexes. Mais en même temps on constitue des tentations pour des lecteurs moins acquis à leur cause qui peuvent s'y mettre parce qu'ils vont les trouver sur leur chemins.
samedi 16 août 2014
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