dimanche 14 juillet 2013

lectorat

Le lectorat des littératures de l'imaginaire se compose de trois cercle :
- Le fandom qui représente le coeur de cible, les individus les plus passionnés. On y trouve les fans passifs et surtout les fans actifs, ceux qui s'impliquent dans les fanzine, l'organisation de convention, qui ont leur blog.
- Les lecteurs réguliers, un lectorat qui lit beaucoup de Sf et de fantasy mais aussi d'autres genres à l'occasion. Ces gros lecteurs sont souvent issus du milieu des gamers ou des rolistes où on découvert la SF et la fantasy grâce à d'autres média et sont passés à la lecture.
- Les lecteurs occasionnels qui lisent peu de SF et de fantasy. On y trouve deux groupes. D'une part des lecteurs de blanche ou de polar qui lisent quelques auteurs de SF ou de fantasy, généralement des auteurs haut de gamme très littéraire comme Robert Charles Wilson en SF ou des bests sellers comme GRR Martin. D'autre part des faibles lecteurs qui lisent quelques auteurs d'entrée de gamme généralement en fantasy ( la SF proposant quasiment plus d'auteurs d'entrée de gamme). Ces derniers lisent Terry Goodkind, Terry Brooks ou alors pour les plus aventureux d'entre eux Raymond Feist ou Robin Hobb.

Elargir le lectorat peu se faire de plusieurs manière :
- En élargissant la base du fandom. Ce qui veut dire inciter des lecteurs réguliers à s'impliquer plus et à faire de la "propagande" autour d'eux. Plus de fans actifs c'est une démultiplication des événements et de la visibilité du genre.
- En faisant passer des lecteurs occasionnels dans le camp des lecteurs réguliers. Et c'est vers la deuxième catégorie de lecteurs occasionnels qu'il faut s'adresser. On peut leur faire découvrir de nouveaux auteurs à condition de bien les conseiller. Parmi eux il peut y avoir des gamers ou des gens qui connaissent la SF ou la fantasy grâce à l'audiovisuel et il est possible de dialoguer avec eux.

1 commentaire:

Guillmot a dit…

Salut, j'ai beau avoir un blog je me considère pas du fandom, j'aime pas cette étiquette. Je suis "moi" et pas membre d'office d'une petite case.